“Je suis fermement convaincu que l’Afrique doit s’intégrer plus que jamais au reste du monde sous peine d’être marginalisée” disait le president Alassane Dramane Ouattara dans une allocution du 16 décembre 1998 alors Directeur Général Adjoint du Fonds Monétaire International.
Il y avait dans un village un homme qui possédait une vache qu’il avait pendant plusieurs années bien nourri. Elle était devenu assez mature pour produire du bon lait. Tous les habitants du village voisin convoitaient le lait de cette vache et s’organisaient pour acquérir cette vache. Tout le monde était au courant du caractère précieux de cet animal, tout le monde sauf son propriétaire.
Un jour les habitants du village voisin rassemblèrent de l’argent et envoyèrent quelqu’un procéder à l’achat de ladite vache au prix d’une vache normale.
Face à cet argent, le monsieur céda sa vache. Quelques jours plus tard, il apprit que les habitants du village voisin avaient grâce au lait qu’ils avaiet trait, eu assez d’argent pour acheter une nouvelle vache chez un ignorant qui voudrait bien se faire avoir comme lui.
Chers lecteurs,
Depuis quelques années, on observe une montée de l’« afro-optimisme ». Les organisations internationales s’accordent à dire que l’Afrique est désormais le terrain de tous les enjeux futurs. L’Afrique est plus que jamais devenue le centre de tous les intérêts. Les perspectives méritent une attention singulière.
En ce qui concerne la démographie, le nouveau rapport du département des affaires économiques et sociales de l’Organisation de Nations Unies fait état de ce que la population africaine devrait atteindre les 2,528 milliards d’habitants en 2050, soit 26% de la population mondiale et les jeunes de moins de 25 ans constitueront alors la moitié de la population du continent soit environs 1,264 milliards. La tranche de jeunes de moins de 18 ans sera supérieure à 1 milliard soit 40% des enfants du globe terrestre.
D’un point de vue économique, la masse de la population constitue un marché certain et une main d’oeuvre qui devra contribuer à accroitre le nombre d’investisseurs sur le continent. Une étude du cabinet de conseils et d’audit Ernst & Young, montre que l’Afrique est la deuxième destination mondiale des investissements étrangers. Les résultats d’un sondage mené par Havas Paris ont révélé que 100% des personnes interrogées étaient optimistes quant à l’avenir économique de l’Afrique.
Autant de signes précurseurs d’une véritable croissance africaine. Cependant à l’heure de tous les enjeux, nous observons hélas une jeunesse en majorité défaitiste, démotivée avec un fort penchant au négativisme. Elle regarde l’avenir avec tristesse car son futur lui semble sombre.
Pendant que les uns pensent que tout se jouera en Afrique, les autres qui sont censés être les principaux acteurs de ce jeu manifestent très peu d’enthousiasme à cet égard car ils sont victimes du syndrome on va faire comment ?
En réponse à cette question qui est sur les lèvres de la quasi totalité des population, je réponds on faire comme ça :
1. S’observer et observer notre environnement,
2. Découvrir nos talents et les opportunités de les utiliser
3. Réaliser des choses
4. Inspirer les autres à faire comme nous.
Nous devons inspirer ceux qui souffrent du syndrome on va faire comment ? par la pratique de la méthode ODRI car comment devenir une source d’inspiration si on ne réalise rien, ? Et comment réaliser si on ne découvre pas ses talents et les opportunités de les utiliser ? et Comment découvrir si on n’observe pas ?
Pratiquez la méthode ODRI et devenez des sources d’inspiration pour une Afrique qui gagne.
Excelent article Brice. Félicitations et bon vent pour le reste